je mesure le chemin que j’ai fait

Notre danse de samedi après-midi était un moment parfait. Il m’a touché par sa pureté d’une part, par ce qu’il impliquait de confiance mutuelle et de complicité d’autre part. C’est pile en phase avec ma quête personnelle qui me conduit à explorer comment je peux mêler et démêler affectivité, sensualité et sexualité. Un frisson me parcourt encore quand j’évoque le degré de confiance absolue dont la liberté de geste que nous nous sommes autorisée, témoigne. C’était à la fois profond et ludique, joyeux, viril, le yang au service du yin. Notre bulle d’énergie était gigantesque et notre réceptivité, aussi. En repensant au stage de cet été, où je n’avais pas pu me lâcher du fait de projections parasites, je mesure le chemin que j’ai fait. Je me réjouis de vous retrouver l’année prochaine!