Partage

Je vous partage les dernières aventures. Comme quoi ce n’est pas parce qu’un stage est terminé qu’il est terminé. Je suis rentré chez moi en vrac, malade et à bout. Malade? Oui: à peine arrivé, tout est remonté, de ce que ne n’avais pas repéré. Emotions dans tous les sens, et c’est peu de le dire. Comme une cocotte-minute laissée sur le feu, avec le petit machin qui tourne en faisant sortir la vapeur, coincé. Pour faire court: j’ai eu des ressentis énormes et confrontants durant le stage, mais il ne me serait pas venu à l’idée de les partager. Non pas que je n’en étais pas au courant, au contraire, c’était très précis, quand ce n’était pas douloureux.”. Alors j’accumulais le malaise sans réaliser une seconde qu’il y avait la possibilité de le dire. Le contenu ou le “pourquoi” n’ont pas grande importance: n’importe quoi peut prendre des proportions démesurées dans ces conditions là. Alors, travaux pratiques n°1, je vous partage déjà ceci… Acte posé n°2: allant de plus en plus mal, j’ai pris mon courage à deux mains et le téléphone d’une troisième, comme on dit, et j’ai appelé a l aide. …Ce qui est deja une revolution en soi. Et autre revolution: m’être senti ecouté et reçu dans un moment pareil. Le chantier continue, vers cette liberte d etre, et surtout en ce qui me concerne, la liberte d oser exister tel que je suis avec ce que je ressens. Exister: ce qui est devient visible…